Djou notre héro |Terminay|

Cheveux : Noirs. Ils sont mi-long - ils lui arrivent sous les épaules - et indisciplinés. Il les coiffe généralement en arrière ou en une queue de cheval mal agencée.
Yeux : Il a des yeux félins, très tirés. Ses pupilles sont vertes, lumineuses comme deux émeraudes. Oui, des yeux de chat à n'en douter, qui ressortent énormément grâce à sa peau basanée.
Taille : 1m78
Poids : 70kg
Tatouage / Piercing : Il a un tatouage de lion sur une épaule.
Style Vestimentaire : Il n'a pas forcément de style vestimentaire si ce n'est qu'il porte essentiellement des kimonos aux couleurs et motifs africains lors de ses heures de solitudes. Lorsqu'il va au travail, c'est toujours très bien habillé, jean et t-shirt correctement taillé. Lors de rendez-vous, ou de réunions, il se pare toujours d'un de ses nombreux costumes sur mesure.
Signe particulier : Sa cicatrice qui lui barre l'oeil droit.

Paragraphe description globale : Allure, démarche, silhouette, description de son visages, autres détails... Minimum 5 lignes
Quand on le regarde, au premier coup d'oeil, Djouqed est surtout très grand, et légèrement imposant. De ses épaules larges, à son bassin étroit, il y a de longues lignes, tracées par ses muscles marqués.  Il n'entretient pas forcément ce corps, juste assez pour ne pas s'empâter dans tous les cas. Cela lui confère une silhouette plutôt agréable à l'oeil, et amplifié par une démarche très féline.
Autrement, il y a son visage. Long, aux traits fins. Ses yeux en amande très allongés, et entourés d'une couleur bleuté qui fait penser à des cernes. Des lèvres roses surmontant sa petite barbiche noire. Ce qui peut choquer au premier regard, c'est la façon dont ces yeux verts, perçants, se détachent de sa peau basanée. Son visage porte souvent une expression blasée, parfois mesquine. Arrogante ou moqueuse.
Ses cheveux, noirs de jais, sont tirés en arrière pour plus de classe, autrement ils retombent de par et d'autre de son visage, lui donnant un air dur et plus sombre encore. Ils sont épais, tel une crinière, mais très doux.
Sa particularité est qu'il arbore une cicatrice à l'oeil gauche.  

Qualités : Protecteur, fidèle. C'est un chevalier servant sous son côté bourru.
Défauts : Râleur, feignant, vaniteux, parfois hautain, Djou a de quoi en faire fuir plus d'un.

Hobbie / Passe temps : Il n'en a pas spécialement.
Phobie : Il ne supporte pas la pluie, et l'eau de manière générale.

Ce qu'il aime : Le Sake, la chaleur, les enfants. S'il a un truc qu'il aime vraiment, ce sont les chats. Pas seulement par instinct de félin qui reconnaît ses cousins. Enfin... Peut-être que si... Il ne sait pas d'où vient cette adoration, mais il aime les chats, voilà tout.
Ce qu'il déteste : Être mouillé.
Manies / TOC : Il a pour manie de toujours se mettre au soleil, même sans s'en rendre compte.

Rêve / but : Il n'en a pas pour ainsi dire.

Paragraphe description globale : Sa façon de penser, ses appréhensions, ses traits de caractère, ses affinités, sa façon d'agir, ses préférences... Minimum 5 lignes
C'est un être machiavélique qui vise principalement à accéder au pouvoir, et va jusqu’à éliminer toute personne qu'il considère comme concurrente. Il est impitoyable, calculateur et sournois. Il se montre très intelligent quant à faire des plans complexes et souvent improvisés, mais son arrogance contribue logiquement à la chute de ses plans.
Il est un peu lâche, plus susceptible de fuir le danger que de l'affronter et, inversement, il est dépeint comme un redoutable chasseur. Dans sa lâcheté, il est extrêmement fort et fait preuve d’une extrême volonté à lutter, et malgré tout, c'est un homme d'engagement qui tient parole.
Lorsqu'il y a quelque chose qui lui tient à coeur, ou s'il se voue à une personne, il serait près à lui décrocher une fortune et même à l'entretenir complètement.  Il semble aussi posséder un grand charisme empreint de beaucoup de mystère. A première vue, c'est quelqu'un de très froid mais dans l'ombre, c'est un homme protecteur. Son point faible ? Les enfants.
Avec les humains, il n'est pas spécialement méchant, ni même spécialement gentil. En fait, il les ignore royalement. Ce détachement envers cette sous-espèce, comme il aime bien les appeler, peut contribuer à sa tendance violente envers eux. Tout comme à cet instinct de protection.  

Minimum 10 lignes
Il est né de deux cultures complètement différentes. D'un père japonais, et d'une mère Egyptienne. Depuis sa naissance, il a vécu, grandit avec son grand frère de trois ans son ainé. Tous deux, vivants en Egypte, ils n'ont jamais connu la pauvreté, la faim. Seulement la richesse, et le luxe. Leur quotidien était partagé entre l'école privée, et leur grande villa où un majordome s'occupait d'eux. Chose tout à fait normale avec un père Juge à la cours suprême, et une mère chirurgienne.

Les deux enfants se battaient la renommée du nom. Chacun voulait succéder à leur père, devenir de grands avocats pour ensuite devenir un aussi bon juge. Leur mère décéda alors qu'ils étaient tous les deux au lycée. C'était certainement la plus grande perte dans la vie de Djouqed. Dès lors, il commença à tourner en rond comme un lion en cage. Il avait besoin d'air, d'espace. Non. Il fallait qu'il ait la reconnaissance de son père.

En fait, ce dernier n'avait d'yeux que pour le grand frère. Et, dès lors que le grand-frère eut fini ses études, il fut directement nommé successeur de Sashimi Raion. Il n'en fallait pas plus à Djouqed pour aller trouver son frère entre quatre yeux. La dispute fut violente. Tant physiquement que psychologiquement. Un coup partit. Puis un autre. Djouqed, de nature plus chétive, se retrouva rapidement en mauvaise posture. Un autre coup partit, du verre se brisa, et le sang coula du visage du plus jeune.

Malgré tout, la paix était revenu entre eux lors de la mort de leur père. Du moins, en apparence. Parce que dans l'ombre, Djouqued, devenu avocat à son tour, préparait la chute de son frère. Un plan totalement immonde, mais qui était quasiment sûr de fonctionner. A côté de ses études de droit, il avait étudié la médecine. L'intelligence que lui avait légué sa mère lui avait servit à obtenir son master de droit, et de finir son cursus de médecine.

C'est en France qu'il a décidé d'aller faire son internat. Son nom lui avait permit de rentrer dans un grand établissement de Paris. Il maîtrisait alors quatre langues avec cette nouvelle acquisition du français. Son plan pour rabaisser son frère marchait à merveille. S'il n'avait pas la même forme, il était tellement supérieur à lui... Une fois son diplôme de chirurgien pédiatre presque acquis, il retournait au pays de son père. Au japon. Mais c'est là, alors qu'il n'avait que 24 ans, que tout bascula.

Il était dans le laboratoire où il terminait ses études. Ils travaillaient sur un essai clinique, une étude génétique faite sur quelques chats. Le tout jeune futur chirurgien s'occupait essentiellement des animaux, il s'agissait de ses animaux préférés et partait du principe que les animaux avaient autant besoin d'attention que les enfants. Mais le sujet numéro 4 eu une sorte de convulsion. L'animal était en mauvaise passe : yeux révulsés, de la mousse sortant de la bouche, des soubresauts de tout son corps. Et lorsqu'il voulu s'en occuper, il se fit mordre.

Pendant plus d'une semaine il resta à son tour à faire des convulsions à faire de la fièvre, et autre. Ce ne fut qu'au bout d'un mois qu'il se remit sur pied. Et lorsqu'il reprit conscience, quelque chose en lui avait changé. Il sentait, beaucoup, distinctement, de parfums différents. Lorsqu'il voyait une personne, il était capable d'avoir son profil de santé détaillé, de savoir de quoi il souffrait, depuis combien de temps, et combien de temps il lui resterait à vivre. Il ne comprenait pas ce qu'il venait de se passer. De lui-même, il s'exila de la société. Il se sentait plus seul que jamais. Son seul salut se fit à ses 28 ans, lorsqu'il dû quitter le Japon pour l'Europe.

On venait de lui confier la vie d'une personne, de lui offrir un poste de chirurgien pédiatre, et on lui promettait des réponses et une vie normale quant à sa nouvelle constitution. Maintenant, il était appelé "héro".